Questions et réponses sur le BDSM

Q & A

Vous êtes nombreuses à me poser des questions sur le BDSM, j’ai donc décidé de compiler ici les principales afin de répondre à vos interrogations.

Que signifie BDSM ?

Bondage, Domination, Sado et Masochisme

Le bondage est l’art d’attacher une ou plusieurs personnes. Cela comprend le Shibari avec un attachement au sol ou en suspension. Mais cette discipline regroupe toutes les techniques d’attachement où le mouvement du ou de la soumise est contraint et limité. Ainsi, par exemple, le port de menottes ou l’attachement à une croix de Saint-André est du bondage.

La domination est l’art d’appliquer sur un ou une soumise des actions ou des paroles ayant pour but une soumission partielle ou totale. Cela suppose que le ou la dominante soit dans le contrôle et la soumise dans le lâcher-prise.

Le sado-masochisme est un registre dans lequel des personnes éprouvent un plaisir à faire ou avoir mal et le plaisir est associé à la douleur.

Il ne s’agit pas là d’une définition universelle du BDSM, mais plutôt la façon dont je perçois ces pratiques.

Pour ma part, j’affectionne surtout une domination bienveillante teintée de saphisme !

Depuis combien de temps êtes-vous dominatrice ?

J’aime les pratiques BDSM depuis de nombreuses années mais cela est devenu une véritablement passion depuis 2021. Depuis lors j’exerce cette activité, régulièrement, aussi bien auprès de débutantes, tant en club qu’en soirées privées.

Est-ce que cela fait mal ?

La question de la douleur est récurrente et légitime. Dans une relation BDSM, il s’agit d’amener un ou une soumise dans un état d’exaltation et de volupté. Dès lors, il n’est pas question de douleur mais bien de sensations fortes.

Est-on obligé de tout accepter lorsque l’on est soumise ?

NON ! Le principe de consentement est essentiel car il permet à un ou une soumise de se sentir en confiance et de lâcher-prise. Ce consentement est révocable à tout moment y compris en pleine séance de domination. Dès lors, les jeux BDSM s’arrêtent immédiatement sans que le ou la soumise ait besoin de se justifier. Il est cependant d’usage d’échanger à la fin de la séance pour parler des sensations ressenties.

J’aimerais essayer, mais que se passe-t-il si je n’aime pas cela ?

Comme cela est évoqué précédemment, un ou une soumise peut demander à arrêter une séance de domination, ce qui est le cas si vous n’aimez pas cela.

Quel équipement utilisez-vous ?

Des menottes en cuir pour attacher mes soumises, des martinets en latex, cuirs ou PVC, une queue de dragon, des paddles. Personnellement, j’affectionne les martinets en latex dont le bruit au contact de la peau est magique et qui procure des sensations progressives très agréables. La queue de dragon est également un de mes accessoires préféré pour l’impact qu’il produit.

J’utilise aussi des griffes, des roulettes avec des pointes (également appelées roulettes de Wartenberg) et aussi des pinces pour les tétons et le sexe.

Mon corps est également un « accessoire » que j’utilise avec beaucoup de plaisir afin d’alterner impacts et caresses.

Y a-t-il des activités que vous ne pratiquez pas ?

Vous trouverez sur ce site les activités que j’affectionne, sans que cela soit exhaustif. N’hésitez pas à indiquer si dans une relation BDSM il y a des pratiques que vous aimez ou pas.

Dominez-vous que les filles ou aussi les hommes ?

Je ne domine que les filles et exceptionnellement leur compagnon. J’assume cette préférence pour les filles et n’hésite pas à orienter les hommes qui souhaiteraient être dominés par une femme auprès de dominatrices que je connais bien.

Une séance de domination laisse-t-elle des traces sur la peau ?

Cela peut-arriver. C’est plus lié à la nature de la peau d’une soumise que à la force appliquée dans les impacts. Une soumise peut très bien indiquer qu’elle ne souhaite pas avoir de marque sur certaines parties du corps, dès lors la dominatrice ne pratiquera pas d’impacts dans ces zones.

Mais en règle générale, les marques et les sensations qui en découlent participent de la suite d’une séance de domination. J’ai bien souvent des soumises qui m’écrivent après une séance pour me dire tout le plaisir qu’elles conservent encore de ce moment de domination.

Etes-vous une dominatrice professionnelle ?

Non. Je pratique cette activité de façon certes très professionnelle, mais j’ai par ailleurs un métier que j‘adore et qui me prend beaucoup de temps. Ce choix me permet de choisir mes soumises et de ne pratiquer que des activités que j’affectionne.

Quel plaisir trouvez-vous à dominer une personne ?

Une séance est un moment hors du temps dans lequel ma soumise et moi et sommes dans une bulle. Notre connexion est incroyablement sensuelle et parfois même sexuelle. C’est donc ce plaisir que je recherche dans une relation BDSM.

Où se déroulent les séances de domination ?

J’affectionne les lieux publics fréquentés par des personnes ouvertes d’esprits. Je peux donc dominer partout, dès le moment où cela ne choque personne. Répondent à cette définition, les clubs libertins et BDSM,  les soirées échangistes. Les rues sombres des beaux quartiers de la capitale sont également des espaces qui m’inspirent.

Avez-vous un ou une chérie ?

J’ai un chéri, qui m’assiste et m ‘accompagne dans mes aventures de dominatrice.

Comment avez-vous débuté dans le BDSM ?

J’ai un jour été fasciné par une séance BDSM au « Clair Obscure », club BDSM du Cap d’Agde, qui était marqué par une véritable chorégraphie érotique et sensuelle. Cela a été pour moi une véritable révélation.

Que ressent-on lorsque l’on est dominée ?

Bien que n’étant pas switch (alternant dominatrice et soumise), j’expérimente d’abord sur moi tous les accessoires que je pense utiliser. Ceci afin de connaître le ressenti sur mon corps. Il m’est donc ainsi possible d’imaginer ce qu’une soumise peut ressentir, à savoir, un très grand moment de relâchement lié à son état de lâcher-prise, un sentiment de vulnérabilité contrebalancé par la confiance qu’une soumise a envers sa dominatrice. Le sujet est bien évidement très vaste et constitue l’essence même de la domination.

Avez-vous des soumises régulières ?

Pas au sens de l’expression « sous collier » qui désigne un  lien qui peut-être exclusif avec une soumise. Je n’ai pas le temps pour cela et puis je ne conçois pas le BDSM dans le cadre d’une relation exclusive. Hormis cela, j’ai des soumises que j’affectionne beaucoup et avec qui j’ai une très grande complicité.

Si vous avez des questions qui ne sont pas évoquées ci-dessous, vous pouvez me contacter ici :

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